Uncategorised
Jouxtant le canal de Brienne, l'intersection des rues de Barcelone, Paul Séjourné et la partie terminale du Boulevard Lascrosse fait place à un jardin public arboré de forme triangulaire, espace vert avec terrain de pétanque, que les toulousains appellent "jardin de l'Herakles", du nom d'une
Lire la suite : Heracles, monument aux morts de la "Grande Guerre"
L'abbé DEVERT (1923-2012) a quitté ce monde le 22 Janvier 2012 à l'âge de 88 ans ; il repose désormais sous le parvis de la Chapelle Notre-Dame du Rugby, dont il fut le fondateur, la cheville ouvrière et l'âme durant les 47 dernières années d'une vie humble, mais riche et pleine
L'encyclopédie Wikipedia nous la présente ainsi :
"le sanctuaire de Rocamadour est une cité mariale construite au flanc de la falaise du canyon de l'Alzou, sur la commune de Rocamadour dans le Lot, en France. Construite en plusieurs étapes à partir du xie siècle, la plupart de ses édifices religieux
Au temps des pionniers à la fin du XIXe siècle, la naissance d'un trophée légendaire, portant le nom illustre d'un chef gaulois belliqueux et guerrier, mais prosaïquement conçu et réalisé avant la première finale du championnat de France en 1892 par deux personnages illustres, dont l'un, visionnaire, a posé les principes du sport moderne et refondé l'épreuve universelle la plus populaire, les Jeux Olympiques..
Plus que millénaire, la prestigieuse cité mariale de Rocamadour, halte incontournable sur les Chemin de St Jacques de Compostelle classée au Patrimoine mondial de l'Unesco, héberge le long de son escalier monumental (qu'au moyen-âge les pélerins montaient à genoux), huit chapelles prestigieuses, dont la fameuse Chapelle Saint-Louis qui depuis 2011 est consacrée à Notre-Dame d'Ovalie ...
Dans les Landes, en pays gascon, la Chapelle Notre-Dame du Rugby, oeuvre de l'abbé-chapelain Michel DEVERT, est le lieu symbolique de pélerinage et de recueillement du rugby français qui reçoit plus de 12000 visiteurs par an.
A Toulouse, la statue de Bourdelle rappelle le sacrifice de milliers de sportifs de Midi-Pyrénées pendant la Grande Guerre, notamment celui d'Alfred Mayssonnié, premier international du Stade Toulousain avec qui il avait gagné en 1912 le premier Bouclier de Brennus du club, abattu sur les champs de bataille de la Marne en 1914.




