En cette soirée du 28 octobre 2023, les "lampions" de la Fête viennent de s'éteindre ; à part pour les sud-africains victorieux, rentrés au pays afin de fêter leur victoire dans un délirant barnum aux allures composites de "triomphe romain du Général victorieux" et de "campagne électorale présidentielle en faveur de l'ANC", le Tournoi 2023 laisse un goût d'amertume au fond de la gorge : les conditions matérielles, climatiques et l'enthousiasme d'un public jeune, joyeux, actif et bariolé offraient le cadre d'une épreuve exceptionnelle, dont l'intérêt s'étiola après les quarts de finale, douché par la pratique d'un jeu de "dépossession", négatif, étroit et sans autre objectif que celui du résultat, favorisé par un arbitrage qui privilégia l'équipe pratiquant le jeu le plus fermé et sans émotion, l'amenant jusqu'au titre avec un écart minimum d'un point lors des trois dernières rencontres éliminatoires, acquises sur des pénalités contestables et contestées.
L'organisateur WORLDRUGBY venant de publier les premiers chiffres, il est temps de tirer un premier bilan de cette grande compétition mondialisée :
Le plus satisfaisant est assurément l'immense succès économique, et l'apport financier qu'il va assurer à l'organisateur et aux Fédérations nationales en difficulté, avec la redistribution des bénéfices réalisés:
- 2,5 millions de billets déjà vendus un an avant le début de la compétition ;
- tous les matchs, même les plus anodins et sans grand intérêt, joués à guichets fermés, avec une moyenne finale de 50.000 spectateurs/match ;
- 600.000 touristes étrangers venus en France pour l'occasion, record des éditions précédentes en Angleterre et au Japon largement battu ;
- 2 milliards d'euros de retombées économiques pour le pays organisateur ;
- Une audience exceptionnelle pour les chaînes de télévision qui avaient acquis les droits de retransmission, leur permettant d'amortir très largement leurs investissements avec les prix imposés lors de la diffusion des spots publicitaires avec une audience aussi importante (16,5 millions de spectateurs lors de FRANCE / AFRIQUE du SUD le 15 octobre, 62,1% d'audience)
- Une consommation de bière gigantesque : avec 137.000 verres de 50 cl de bière consommés, le match Irlande - Ecosse du 7 octobre, a battu tous les records, puisqu'il équivaut à une consommation de 0,9 litres (2 pintes) pour chacun des 78.459 spectateurs présents (la consommation lors d'un match du "Tournoi des 6 Nations" s'établit à 80.000 pintes
- Une ambiance, un enthousiasme, une fête, une joie de vivre remarquables dans les stades et les "fans zones" bigarrées, malheureusement gâchés par un arbitrage incohérent avantageant constamment jusqu'à sa victoire finale l'équipe la moins joueuse, la plus rugueuse, la seule dont le gouvernement refuse de signer les textes internationaux de lutte contre le dopage, dont les campagnes de dénigrement contre l'arbitrage sur les réseaux sociaux menées avec constance par son Directeur du rugby (malgré les sanctions déjà intervenues à son encontre) paralyse les directeurs de jeu et fausse les compétitions. Après ce Tournoi, il félicitera même le jeune arbitre néo-zélandais Ben O'KEEFFE, ayant eu l'honneur de diriger à trois reprises dans la compétition son équipe, dont deux fois inexplicablement en 1/4 et 1/2 finale, dont les décisions qualifièrent les sud-africains jusqu'à la finale.
Donnons acte au grand joueur que fut François STEYN (2 fois Champion du Monde avec l'Afrique du Sud) de l'analyse prophétique qu'il avait faite le 12.10.2023 dans MIDI OLYMPIQUE avant le 1/4 finale, que l'on peut généraliser à tous les matchs qui suivirent : "Ce France - Springboks est le match que tout le monde attend depuis quatre ans. C’est la finale avant l’heure. Et ce qui m’ennuie le plus, c’est que ce match monstrueux, magnifique, se jouera probablement sur une décision d’arbitrage, un carton rouge tiré par les cheveux ou un coup d’esbroufe de leur nouveau truc, là, le "bunker"... Je peux juste vous dire que l’équipe qui remportera ce match sera championne du monde derrière."
Alors que l'organisation était très avancée, que les poules du tour préliminaire de la compétition étaient officiellement constituées depuis le 14.12.2020 , que les championnats régionaux qualificatifs aux dernières places battaient leur plein, WORLDRUGBY adopta d'importantes réformes relatives aux règles d’éligibilité des joueurs en équipes nationales, mais aussi à l'organisation de l'épreuve elle-même :
Ces modifications tardives, sources de confusion et d'inéquité, illustrent la souplesse et l'inégalité des règles de WORLDRUGBY : autant elles sont souples, adaptables sur mesure et bienveillantes à l'intérêt des nations les plus influentes au sein de l'institution internationale qui les modifient et les modèlent en fonction de leurs intérêts partisans, autant elles sont strictes, inflexibles et impitoyables à l'encontre des nations moins puissantes. Ainsi, l'ESPAGNE qui avait gagné sa place à la Coupe du Monde 2023 par ses victoires sur le terrain, fut disqualifiée par l'instance internationale au motif qu'avait été sélectionné dans son équipe nationale un joueur de nationalité sud-africaine, Gavin Van-den-Berg, qui avait bien - lors de ses sélections - une présence de 36 mois en Espagne, mais l'avait interrompu pendant la période noire de COVID et l'arrêt des compétitions pour rejoindre sa famille en AFRIQUE-du-SUD !
- Une adaptation des règles d'éligibilité en sélection de WORLDRUGBY :
Sur la pression de certains, au nombre de ses membres les plus influents, WORLDRUGBY avait adapté ses règles d’éligibilité à la sélection nationale d'une manière surprenante : le principe était jusqu'alors qu'un joueur bénéficiant du statut d'international sous les couleurs d'une nation, ne pouvait en représenter une autre.
Désormais, à l'occasion de la Coupe du Monde 2023, ce principe était caduc et adapté de la façon suivante : un joueur sélectionné sous les couleurs néo-zélandaises ou australiennes par exemple, dans la mesure où il n'était plus appelé en sélection depuis 36 mois pouvait désormais jouer sous les couleurs d'une autre nation s'il était né lui-même, un de ses parents ou de ses grand-parents dans ce pays !
Autant dire que les joueurs des Îles indépendantes du Pacifique, (réservoir habituel de la Nouvelle-Zélande et l'Australie pour la composition de leur équipe nationale) pourraient - pour des raisons économiques - continuer à opérer au sein de ces équipes de premier plan, avant de rejoindre leur équipe nationale de cœur et représenter leur propre pays en fin de carrière !
- Modification article 8 du règlement de WorldRugby relatif à la durée de résidence dans un pays pour le représenter
La règle internationale intangible était jusqu'alors qu'un joueur devait résider depuis 36 mois consécutifs dans un pays pour être sélectionnable dans son équipe nationale.
A compter du 1 janvier 2022, WORLDRUGBY modifie cette règle et porte la durée de résidence à 60 mois consécutifs. Se pose alors le problème de certains joueurs, arrivés très jeunes dans un pays où ils ont été formés et où ils jouent sans discontinuer depuis plus de trois ans, donc régulièrement sélectionnables avant le 1 janvier 2022, mais qui n'ont pas porté les couleurs de l'équipe nationale pour un motif divers.
C'est le cas pour le jeune joueur du STADE TOULOUSAIN Emmanuel MEAFOU, arrivé en FRANCE en décembre 2018 et sélectionnable depuis décembre 2021 : sur un caprice du Président de la FFR, Bernard LAPORTE, il ne l'avait pas été au motif qu'il n'avait pas encore obtenu officiellement la nationalité française. Bien que l'affaire soit sur le point d'aboutir, après l'exclusion de LAPORTE, la FFR demandait à WORLDRUGBY que, compte tenu des circonstances très particulières, MEAFOU obtienne une dérogation exceptionnelle pour représenter un pays dont il a acquis la nationalité et où il vit depuis 2018.
Logique de WORLDRUGBY : refus immédiat ! Eut-il porté il y a 36 mois les couleurs australiennes ou néo-zélandaises, n'eut-il jamais mis les pieds en FRANCE, mais un de ses grands-parents qu'il n'a jamais connu eut-il été de nationalité française, il aurait pu le faire sans difficulté !Cette demande de dérogation apparaissait d'autant plus logique et fondée qu'un principe général fondamental du droit français édicte qu'en matière de rétroactivité de la loi, c'est la loi la plus douce qui doit s'appliquer, et que MEAFOU aurait du en bénéficier. Mais sans aller jusqu'à évoquer ce principe légal , il correspondait à la jurisprudence de WORLDRUGBY lui-même : un cas similaire a eu lieu en Nouvelle-Zélande avec le demi-de-mêlée Folau Fakatava, natif des Tonga mais qui a pu jouer avec les All Blacks. Ce dernier était dans le même cas de figure que Meafou et avait bénéficié de cette dérogation !
Bel exemple de sportivité et de "valeurs du rugby" pour des nations où le nationalisme exacerbé l'emporte sur tout autre valeur ! - Un tirage au sort des groupes trop précoce qui a déséquilibré la compétition et tué l'ambiance après les 1/4 finale :
Le tirage au sort des groupes pour la Coupe du Monde 2023 avait été effectué trois ans à l'avance, sur la base des résultats de la Coupe du Monde 2019 au JAPON d'un classement WORLDRUGBY totalement abscons, décalé en fonction de la mobilité intervenue dans les résultats internationaux des équipes.
Avec ce tirage inepte, les équipes classées aux quatre premières places se trouvaient donc dans un même tableau, condamnées à s'entretuer pour s'éliminer lors des 1/4 finales ; par contre, des équipes en forte baisse, se voyaient offrir un tableau totalement dégagé, avec la certitude d'une place en demi-finale sans trop d'efforts.
Avec l'élimination précoce de la FRANCE et de l'IRLANDE, toutes deux dans le premier tableau, le TOURNOI se voyait donc privé de ses contingents de supporters les plus fervents, dont les chants avaient jusque là admirablement animé la compétition.
Ces éliminations signifièrent la fermeture des "fans zones" qui avaient jusque là accueilli des millions de supporters, et l'ambiance générale fut en berne et perdit évidemment beaucoup de sa superbe, d'autant plus que ces défaites dans des matchs très serrés reposaient sur des erreurs d'arbitrage patentes. - Énormes déséquilibres sportifs :
La compétition n'a pas été serrée, loin s'en faut : 20 équipes engagées, chiffre trop important assurément qui a encore mis en évidence l'écart vertigineux entre les meilleures équipes et le reste du monde : sept rencontres insipides se sont achevées avec un écart d'au moins 70 points, qui marque le fossé entre les adversaires. Pablo LEMOINE, l'entraîneur de l'équipe du CHILI, a lapidairement constaté : les clowns d'un côté, les grands propriétaires de l'autre ! .
Dans ces conditions, il est miraculeux que ces matchs aient pu être joués à guichets fermés, vu le prix des billets, alors que leur intérêt est sans rapport avec celui des grands championnats professionnels qui passionnent les foules européennes. Pour combler cet écart, les petites nations plaident pour que, en dehors de la Coupe du Monde, existent des matchs plus nombreux entre petites nations émergentes et le "Top 10" WORLDRUGBY ; mais au vu du nombre de matchs déjà disputés entre les championnats professionnels domestiques, les matchs des championnats de clubs professionnels continentaux, et les rencontres internationales telles le "Tournoi des 6 Nations ou le "Rugby Championship", il est totalement impossible d'ajouter de nouvelles rencontres à un calendrier déjà surchargé qui fait fi de la santé et de l'équilibre des joueurs. WORLDRUGBY pour sa part a tranché : 24 Nations disputeront la prochaine Coupe du Monde en AUSTRALIE, contre 20 en FRANCE. On rajoute donc 4 petites nations et plus encore de rencontres sans aucun intérêt dont le résultat est couru d'avance.
Bonne chance pour remplir les stades et passionner les foules de supporters dans ces conditions ! - Critiques contre l'arbitrage :
Les arbitres désignés par "WorldRugby"
Arbitres Arbitres assistants Arbitres vidéo Total Afrique-du-Sud Jaco Peyper Marius Jonker 2 Angleterre Wayne Barnes
Matthew Carley
Karl Dickson
Luke PearceChristophe Ridley
Brett CronanTom Foley 7 Australie Nic Berry
Angus GardnerJordan Way 3 France Mathieu Raynal Pierre Brousset 2 Georgie Nika Amashukeli 1 Irlande Andrew Brace Chris Busby Brian MacNeice
Joy Neville4 Pays-de-Galles Craig Evan Ben Whitehouse 2 Italie Andrea Piardi 1 Nouvelle-Zélande Ben O’Keeffe
Paul WilliamJames Doleman Brendon Pickeril 4 Comment ne pas regretter une représentation hégémonique écrasante au sein des commissions de WORLDRUGBY de certaines fédérations, alors que ni leurs résultats sportifs dans les épreuves nationales, continentales ou internationales, et moins encore leur réussite économique, ne sauraient en justifier ? Pourquoi un tel déficit d'arbitres d'une nation dont le championnat, économiquement le plus prospère et extrêmement populaire, est réputé le plus difficile du monde ?
Il y a toujours de bonnes raisons, et cette fois l'explication fournie était que les meilleurs arbitres français ne sont que semi-professionnels, alors que la commission d'arbitrage désigne des professionnels ; pourquoi les recommandations de la fédération préconisent-elles que les quatre arbitres d'une rencontre (arbitre central, deux arbitres touche et TMO) ne doivent pas être de même nationalité et que par exemple les quatre "référées" d'Afrique-du-Sud / France étaient tous néo-zélandais (O'KEEFE arbitre principal, assisté de WILLIAM et DOLEMAN, avec PICKERILL tmo) ; alors que le corps arbitral pour la finale était entièrement composé d'anglais ? - Gestion par WORLDRUGBY d'insultes racistes :
Durant la 1/2 finale entre l'ANGLETERRE et l'AFRIQUE-du-SUD, le troisième-aile anglais Tom CURRY signale à l'arbitre de la rencontre, Ben O'KEEFFE, que le talonneur adverse, Bongi MBONAMBI, le provoque en lui tenant des propos racistes, "Connard de Blanc !" ; l'arbitre lui demande de ne pas répliquer lui affirmant qu'il va surveiller, sans autre suite !
Pressé par le PRESSE anglaise, WORLDRUGBY clame ensuite que de telles insultes sont insupportables sur un terrain de rugby et qu'il ouvre immédiatement une enquête. Enquête tout à fait particulière, puisque effectuée par on ne sait trop quelle instance, sans audition de TIM CURRY ni Bongi MBONABI ou un éventuel éventuel témoin, et se conclut par un communiqué alambiqué et spécieux : "World Rugby reconnaît que Tom Curry a émis des allégations de bonne foi et qu'il n'y a aucune suggestion que ces allégations soient délibérément fausses ou malveillantes mais juge qu'il n'y avait pas suffisamment de preuves à l'heure actuelle pour engager des poursuites !".
Donc, l'instance internationale a assez de preuves pour qualifier d'insoupçonnables le témoignage de CURRY, mais pas assez - sans la moindre audition de quiconque - pour poursuivre ! On ne va surtout priver l'équipe privilégiée d'Afrique-du-Sud de son unique talonneur valide, puisqu'elle a déjà pris le risque de remplacer son talonneur titulaire blessé par un ouvreur buteur (POLLARD, initialement non retenu mais devenu indispensable en raison de la faillite de la réussite des coups de pied lors des premiers matchs !)
Comme le titrera le TELEGRAPH : "World Rugby a laissé tomber l'Angleterre et CURRY" ; remarque d'autant plus troublante lorsque l'on repense à la grave faute d'arbitrage qui a conduit Ben O'KEEFE à donner la victoire à l'AFRIQUE-du-SUD sur une pénalité en mêlée à la 78ème minute, alors que l'ANGLETERRE menait et dominait son adversaire depuis le début du match ! Signalons que CURRY fait l'objet d'une campagne de cyber-harcelement ! Et MBONAMBI, qui a prétendu pour se dédouaner - bien que de langue anglaise parler à ses adversaires en "afrikaan", langue maudite de l'apartheid - de continuer à provoquer et insulter l'Angleterre et son adversaire. Pourquoi pas, après tout, puisque WORLDRUGBY, devenu leur complice objectif, tolère ces débordements à ERASMUS et son joueur préféré, MBONAMBI ?
ELIGIBILITE DES JOUEURS EN EQUIPES NATIONALES
ORGANISATION DE LA COMPETITION
Aucun incident notable n'est à relever, dans des stades remplis à guichets fermés, dans une ambiance chaude et fervente, animée côté français par les hymnes classiques que sont devenus "LA PENA BAIONA", "DANS LES YEUX D'EMILIE" ou "LA GOFFA LOLITA" tels que popularisés par les bandas du Sud-Ouest, ou le magnifique "ZOMBIE" des supporters irlandais.
Toujours bienveillante, la presse progressiste subventionnée avec l'argent public a tenu cependant à donner son avis et créer le "buzz" indispensable pour critiquer l'organisation d'un tournoi, dont elle considère les supporters comme membres "de l'extrême droite", racistes, machos, avinés, homophobes et incultes
- Une cérémonie d'ouverture franchouillarde !
Conçue tout en second degré par Jean DUJARDIN, elle mettait en scène un boulanger amoureux d'une costumière (interprétée par une danseuse étoile), dans un grand tableau représentant sur la pelouse un quartier parisien des années 50, dont un coq caricatural ; aux critiques de la presse bien-pensante progressiste qualifiant le spectacle d'amoncellement de clichés, l'auteur répliqua : "Nous sommes aussi le pays du béret, de la gastronomie, de la culture, de l'éducation, n'en déplaise à certains ; ça a alimenté le "buzz", comme on dit. Et moi, ça m'a fait rire !"
- Des sifflets pour MACRON !
Au mois de juin, lors de la finale du "Top 14" et au sortir de la période troublée de la réforme des retraites, il avait miraculeusement échappé à l'orage et son service de communication avait lourdement insisté sur la civilité des supporters de rugby, qui ne l'avaient pas hué comme il l'est habituellement lors de chacune de ses sorties publiques ; mais en ce huit septembre, alors qu'il venait encore une fois d'activer l'article 49-3 de la Constitution pour faire passer sans vote de l'assemblée le projet de budget 2024, malgré la sécheresse ambiante, l'orage est tombé dru !
- Le fiasco des hymnes en canon
Pour changer un peu de la routine habituelle en matière d'interprétation des hymnes nationaux de chacune des équipes engagées, Claude ATCHER, Président du Comité d'Organisation, avait lancé un vaste et généreux projet qu'il annonçait ainsi : "Grâce au Ministère de l’Education Nationale, à la Maîtrise Populaire de l’Opéra Comique et au soutien du Ministère de la Culture, la Mêlée des Chœurs permettra à 7 000 enfants de vivre une expérience inoubliable en interprétant les hymnes nationaux des 48 matchs de la Coupe du Monde de Rugby France 2023."
Mais, après la suspension de Claude ATCHER de ses fonctions par la très "woke" Ministre des Sports, Amélie OUDEA CASTERA (illustre représentante d'une famille qui a érigé le "népotisme" en valeur cardinale : nièce des journalistes Alain et Patrice DUHAMEL, cousine de l'étoile montante journalistique de BFM TV Benjamin DUHAMEL, et Nièce par alliance de la chef du service politique de FR2, l'influente Nathalie SAINT-CRICQ - femme de Patrice et mère de Benjamin), patatras ! Son remplaçant RIVOAL décrète une modification sensible des objectifs de « La Mêlée des Chœurs », qui était de faire chanter les hymnes lors de chaque match à des chœurs composés de 300 enfants, sur la pelouse. Cela n’aura finalement lieu que lors de 9 rencontres : uniquement à Saint-Denis et à Marseille, avec des groupes composés de 150 à 170 éléments.
Mais la reprise en canon des hymnes provoque une cacophonie pénible, empêchant les supporters de les reprendre normalement ; toutes les orchestrations doivent donc être revues, remises en forme et réenregistrées en urgence par le chanteur MIKA, pour permettre au public présent dans les stades de les chanter normalement. A vouloir faire nouveau et moderne systématiquement ...
Espérons pour les Jeux Olympiques que le wokisme n'imposera pas de telles inepties, même avec la très sainte et népotique famille DUHAMEL aux commandes et aux commentaires. Digne représentante du wokisme, et au nom d'un féminisme débridé, OUDEA-CASTERA, après avoir eu le courage de porter un pull-over aux couleurs LGBT dans la tribune officielle lors du 1/4 de finale de coupe du monde de football au QATAR entre l'Angleterre et la France, a réussi l'exploit unique d'avoir la peau des présidents des principales fédérations sportives du pays (football, rugby, hand-ball, volley-ball, gymnastique, etc ... On ne saurait mieux déconstruire, admet Sardine RUISSEAU, son maître à penser et guide spirituel !)
- Problèmes d'accès aux Stades de Marseille et de Bordeaux et manque de réserve de bière :
Après le terrible scandale de la finale du Championnat d'Europe entre LIVERPOOL et le REAL DE MADRID au STADE DE FRANCE, du à la défaillance de l'organisation et à la énième grève des transports du RER (comme d'habitude pour les évènements sportifs importants), le Ministre de l'Intérieur avait imputé la responsabilité des agressions, des vols avec violences sur les supporters et agressions sexuelles aux habituelles bandes maghrébines et sub-sahariennes, maîtresses de Seine-Saint-Denis, agissant sous couverture anglaise, qui commettaient leurs forfaits sous les prénoms de "Kevin" et "Mateo" ; cette fois, à la suite d'un filtrage poussé et d'une gestion des flux, certains supporters anglais se plaignirent de n'avoir pu assister au début de la première rencontre de leur équipe contre l'Argentin au STADE VELODROME. De même, les supporters irlandais déplorèrent des problèmes de transport pour se rendre au MATMUT ATLANTIQUE pour les débuts de leurs favoris contre la ROUMANIE. Après ce début difficile, les problèmes semblèrent se régler.
- Une victoire peu reluisante et sans relief : la victoire du jeu de "dépossession"
Lors de la traditionnelle cérémonie de clôture organisée par WORLDRUGBY, les RUGBY AWARDS, pour célébrer l'épreuve qui vient de se clore, WORLDRUGBY distingue celui qui est considéré comme le meilleur joueur mondial (en l'occurence le néo-zélandais Ardie SAVEA, remarquable tout au long de la compétition), mais également le XV des meilleurs joueurs de l'année.
Il est étonnant que ne figure dans cette équipe de rêve qu'un seul joueur sud-africain, le deuxième ligne Eben ETZEBETH, dont l'équipe vient pourtant de remporter son quatrième titre mondial.
Mais cela rappelle que ce titre a été remporté par une équipe qui aurait du participer à cette compétition sous bannière neutre et sans hymne national, puisque le gouvernement communiste du pays dirigé par le "Congrès National Africain" de NELSON MANDELA, n'a pas respecté la date limite fixée pour modifier sa loi sur le dopage dans le sport, désormais obsolète, afin de se conformer au dernier Code de l’Agence mondiale antidopage (AMA), en vigueur depuis deux ans. C'est par une argutie judiciaire et un appel suspensif contre cette sanction que cette représentation a été admise.
Quitte à être contredit par les faits en évoquant les pressions d'un régime politique communiste, adepte des méthodes de manipulation dignes du KGB Poutinien, qui eurent lieu pour le Coupe du Monde 1995, avec la pression exercée sur l'équipe sud-africaine par le Chef de l'Etat MENDELA mettant les joueurs face à leurs devoirs patriotiques en insistant sur la raison d'état supérieure que représentait une victoire à ce tournoi pour l'unité nationale d'une population massivement noire, avec un mix minoritaire de blancs et de métis (blancs, noirs, asiatiques mélangés) pour l'avenir et l'unité d'un pays déchiré à peine sorti de décennies d'apartheid et d'affrontements sanglants, poètiquement désigné par l'archevêque Desmond Tutu sous le vocable : "la nation arc-en-ciel".
L'obtention de cette victoire impérative avait donné lieu à des abus et débordements moralement indéfendables, comme le dopage médical massif des joueurs retenus, avec un nombre record de cancers du cerveau et de décès prématurés avant leur quarante ans ; l'empoisonnement de joueurs français avant la 1/2 finale, puis de joueurs néo-zélandais avant la finale, tous atteints de diarrhées aiguës ; les classiques scandales sexuels avec la collaboration de professionnelles et les chantages à la vidéo aux dépens des dirigeants et arbitres ; et bien sûr, la corruption d'arbitre la plus grossière, telle cette montre ROLEX et ce séjour pour quatre personnes - voyage compris - offerts lors de la cérémonie de clôture à l'arbitre gallois Derek BEVAN par le Président de la Fédération sud-africaine lors de la cérémonie de clôture !
Car le point noir de cette édition 2023 restera sans nul doute un niveau de jeu nettement en-deçà des légitimes attentes pour une compétition aussi prestigieuse ; les 1/2 finales furent d'une pauvreté affligeante lors d'un Nlle Zélande / Argentine à sens unique, et un Angleterre / Afrique du Sud, dominé sous la pluie par les anglais mais offert, sur la dernière action du match, avec un point d'avance aux sud-africains par une décision arbitrale discutable et discutée.
Les équipes les plus spectaculaires (France, Irlande, Nouvelle-Zélande) furent désavantagées par un arbitrage à sens unique, favorisant le jeu au pied de dépossession, la rigueur et l'agressivité physique des sud-africains avec son corollaire de total manque d'ambition pour un jeu attractif et spectaculaire. - Le naufrage de l'arbitrage Aucun joueur n'a réussi à sortir du lot lors de ce tournoi 2023, aucun ne l'a émerveillé ni enchanté comme ce fut le cas lors des précédentes éditions. Le fait marquant est et demeurera le total naufrage de l'arbitrage, notamment à partir de la phase éliminatoire des 1/4 de finale.
Les responsabilités qui ont été confiées aux juges de ligne pour aider l'arbitre central, l'instauration de la vidéo permettant de juger des actions en détail sous tous les angles, l'apparition d'un juge vidéo (TMO) en charge de l'analyse pour signaler toute action litigieuse et intervenir auprès de l'arbitre, l'institution d'une phase "bunker" pour permettre à l'arbitre central de ne pas s'attarder dans l'examen des phases dangereuses et décider de l'exclusion temporaire ou définitive du joueur fautif puisque désormais cet examen échoit à un arbitre totalement indépendant qui a 8 minutes pour prendre la décision et la communiquer à l'arbitre, tout semblait réuni pour minimiser au maximum les fautes arbitrales et permettre des rencontres parfaitement équitables.
Et ce fut le contraire qui se produisit, puisque ce furent les graves fautes arbitrales qui firent l'unanimité à partir des 1/4 finales et remplirent les colonnes des journaux spécialisés lors des phases éliminatoires.
Pour la rencontre entre la FRANCE et l'AFRIQUE-du-SUD, les "SUPERVISEURS" de WORLDRUGBY ont relevé trois erreurs majeures qui offrent le gain du match à l'équipe sud-africaine :- la première concerne un déblayage dangereux avec un coup de tête de Pieter-Steph Du Toit sur Jonathan Danty (17e) qui aurait dû valoir un carton jaune au troisième ligne sud-africain.
- La seconde action concerne le désormais célèbre "contre" de Cheslin Kolbe sur la transformation de Thomas Ramos (22e).Les superviseurs confirment que l’ailier sud-africain a lancé sa course d’élan trop tôt. "La transformation devait être retapée avec interdiction de charge cette fois-ci. C'est la règle"
- La fédération internationale a relevé une dernière erreur qui a eu une énorme influence sur le résultat final: le grattage illicite de Kwagga Smith sur Cameron Woki (68e) après avoir posé les mains au sol. Sur cette action, M. O’Keeffe a accordé une pénalité… à l’Afrique du Sud transformée par Handré Pollard pour offrir une avance décisive à son équipe alors qu’elle aurait dû être accordée aux Bleus.
- Et dans cette litanie de "pleureuse", comment ne pas citer toutes ces charges sud-africains poing fermé ou coude en avant au visage de leur adversaire,
- Après cette prestation remarquée, Ben O'KEEFFE reçut les félicitations officielles du Directeur du rugby sud-africain, Rassie ERASMUS, et de quelques joueurs, tels le 1/2 mêlée Cobus REINHARD. Malgré les critiques de la presse internationale (mis à part sud-africaine), WORLDRUGBY - malgré son jeune âge et l'émotion psychologique produite par la volée de bois vert reçue - décida de le renvoyer au feu pour une nouvelle fois arbitrer l'équipe d'Afrique du Sud en 1/2 finale contre l'équipe d'Angleterre. Comment mieux résumer cette rencontre que ne le fit le soir même l'envoyé spécial du FIGARO :
Pas le même arbitrage, pas le même rendement... Six jours plus tard et on n'a pas reconnu M. O'Keeffe. L'arbitre néo-zélandais, si permissif avec les Sud-Africains contre le XV de France, ne leur a cette fois rien laissé passer, ou pas grand-chose. Il a, par exemple, sanctionné leurs premières montées défensives, ultrarapides car parties hors-jeu, ce qui a ensuite freiné leurs velléités. Il s'est montré également beaucoup plus sévère dans les rucks, empêchant les Springboks d'y faire leur loi en toute impunité. Ainsi surveillé, le champion du monde en titre a été étouffé par l'engagement anglais. À la loyale. Et ça a tout changé en réduisant les opportunités de déployer leur jeu. Quel dommage que Ben O'Keeffe n'ait pas été aussi strict en quart de finale. Sermonné par les superviseurs de World Rugby, qui ont repéré cinq fautes «ayant un impact direct sur le match » non sifflées lors de France-Afrique du Sud (ce qui aurait dû lui valoir quelques semaines de placard…), il se savait sous surveillance. Le public, qui l'a copieusement conspué à chacune de ses apparitions sur l'écran géant du Stade de France, n'était pas en reste pour ce qui est de scruter sa performance."
Oui, mais voilà ; il était écrit que l'équipe sud-africaine, dominée toute la rencontre, devait finalement l'emporter ; et survient à la 78ème minute cette pénalité si discutée, lorsque l'arbitre la propulse en finale dans des conditions qui seront même critiquées par une icône de l'arbitrage international, l'expérimenté gallois Nigel OWENS, classé par WORLDRUGBY comme le numéro 1 des arbitres internationaux (finales de Coupe du Monde et les plus de 100 tests-matchs dirigés à son palmarès !)
"Ben O'Keeffe n'a pas fini de faire parler de lui ! Car il s'est illustré à la toute fin de la demi-finale entre l'Angleterre et l'Afrique du Sud en sanctionnant l'équipe d'Angleterre, ce qui a offert une pénalité à Handre Pollard, la pénalité de la gagne. Le buteur des Springboks ne s'est pas fait prier pour passer ce coup de pied et voilà les Sud-Africains, qui s'imposent une nouvelle fois d'un point face à leurs adversaires sur ces phases finales. Une mêlée qui fait jaser !
Oui mais voilà cette pénalité contre l'Angleterre était-elle vraiment juste ? Là-dessus, encore une fois, la polémique est forte depuis samedi soir. En effet, Ellis Genge est sanctionné en mêlée par Ben O'Keeffe pour avoir mis un genou à terre. Mais plusieurs images montrent également que le pack sud-africain n'était pas non plus d'une discipline exemplaire. En effet, Vincent Kock, pilier remplaçant des Springboks qui porte le numéro 18, semble pousser complètement en travers. Ce qui n'est bien sûr pas légal. Mais Ben O'Keeffe retient, pour justifier sa pénalité (et malgré les argumentations des joueurs du pack anglais) que Genge pose le genou à terre avant cela. C'est donc à lui d'être sanctionné. Et voici pourquoi les débats sont autant fournis, notamment sur les réseaux sociaux, où l'arbitre a été pas mal critiqué."
- Et pour en terminer sur la très mauvaise impression laissée par l'arbitrage, dont beaucoup d'amateurs estiment qu'il a imposé le vainqueur par ses erreurs réitérées au bénéfice d'une même équipe, la finale entre les deux champions de la catégorie, trois victoires chacun, qui se disputaient le sceptre mondial. Le débat fut de courte durée, puisque dès la 12ème minute, le capitaine de l'équipe néo-zélandaise était définitivement exclu sur une faute incontestable, mais non sanctionnée à l'identique lorsqu'elle fut commise par le capitaine sud-africain.
Et malgré la domination néo-zélandaise, en infériorité numérique, la rencontre se conclut par la énième faute du troisième ligne sud-africain Kwagga SMITH qui vint, comme il l'avait déjà fait en quart de finale, en appui sur ses deux mains, arracher la balle au joueur néo-zélandais porteur. Malgré cette faute dans ses 22 mètres, il ne sera évidemment pas sanctionné et le ballon arraché dans ces conditions terminera sa course en touche, actant la victoire définitve d'un point, sur quatre pénalités, de l'équipe sud-africaine.
Si le génie d'aucun joueur ne parvint à enflammer les esprits ou susciter l'enthousiasme des enfants, ressort de ce Tournoi la faillite globale de l'arbitrage, notamment l'arbitre néo-zélandais Ben O'KEEFFE, qui restera le grand homme de l'édition 2023.
Ce jeune arbitre, extrêmement ouvert, humain et sympathique a rapidement taillé sa route dans la profession par sa réputation de laisser jouer, et sa propension à favoriser un jeu vif, rapide et limpide, sans trop le hacher par des interventions tatillonnes.
Mais il avait face à lui un "staff" sud-africain madré et habile dans l'art d'exercer une pression psychologique sur l'arbitrage : par des campagnes ciblées avant les rencontres, conclues par des campagnes de destruction massives sur les réseaux sociaux s'il n'avait pas obtenu satisfaction de ses exigences. Durant la semaine avant la rencontre de 1/4 de finale contre la FRANCE, le Directeur Rassie ERASMUS ne cessa de répéter lors de chacune de ses conférences de presse le danger que constituait pour son équipe l'arbitrage en général favorable au pays hôte (il devait faire allusion à l'arbitrage scandaleux en faveur de son pays en 1995 !), accusa les joueurs français de jouer la comédie en se roulant par terre, ou bien de se comporter en "pleureuses" auprès de l'arbitre en ne cessant de se plaindre des fautes non sanctionnées de l'adversaire. Provocateur né, il avait été suspendu par WORLDRUGBY après la publication sur les réseaux sociaux d'une vidéo où il mettait en cause l'honnêteté de l'arbitrage de l'australien Nick BERRY lors de la rencontre entre les LIONS BRITANNIQUES et les SPRINGBOKS ; dés son retour de bannissement, il avait immédiatement réitéré en diffusant quatre nouvelles vidéos mettant en cause l'arbitrage de Wayne BARNES lors du test-match perdu par son équipe contre la FRANCE.
Et c'est bien par ces agressions gratuites et systématiquement réitérées contre l'arbitrage qu'il a certainement remporté, après celle de 2019, la Coupe du Monde 2023. Pour ses talents de manipulateur, il vient de reprendre la haute main sur l'équipe sud-africaine, en étant à nouveau nommé "sélectionneur" par l'ANC, poste qu'il n'avait jamais quitté d'ailleurs bien que prenant le nom de "Directeur du Rugby" entre les titres de 2019 - 2023. C'est donc du haut de sa grandeur et de son trône pontifical retrouvé qu'il insulte désormais grossièrement tout journaliste qui critique ses options de jeu ! Bel exemple en effet pour celui qui vise désormais un troisième titre mondial d'affilée ; et beaucoup d'espoir pour le prochain Tournoi mondial de 2027 en AUSTRALIE : par la crainte inspirée aux arbitres, sera-t-il marqué lui aussi par un arbitrage incohérent, ne pénalisant pas la pression exercée par un jeu de "dépossession", une défense sud-africaine agressive en perpétuelle limite de hors-jeu et des manoeuvres illicites de retardement de sortie du ballon adverse sur les phases de rucks ? - la première concerne un déblayage dangereux avec un coup de tête de Pieter-Steph Du Toit sur Jonathan Danty (17e) qui aurait dû valoir un carton jaune au troisième ligne sud-africain.
De l'avis général cette épreuve a été ternie par deux facteurs qui ont nui à sa portée et sa réussite : un jeu de dépossession, terne, triste, ennuyeux, sans ambition lors de sa phase finale, favorisé par un arbitrage inéquitable qui a déterminé, plus que le combat régulier des hommes sur le terrain, le vainqueur de l'épreuve.
Plutôt que glisser ce problème sous le tapis au nom du sacro-saint principe "l'arbitre a toujours raison", peut-être serait-il pertinent d'essayer d'en analyser les causes pour y remédier lors des prochaines épreuves.
Cette "Coupe du Monde", bien que de création récente (1987) comporte désormais assez de recul pour en mesurer l'évolution.
En préambule, regrettons le déséquilibre qui règne dans la représentation des nations constitutives au sein de son organigramme : l'ancien INTERNATIONAL RUGBY BOARD (IRB), désormais renommée WORLDRUGBY, qui gouverne le jeu de rugby, son organisation, ses règles, sa discipline et toutes les épreuves internationales disputées par des équipes nationales, est censé représenter l'émanation élective de toutes les fédérations ; il est dirigé par un Comité Exécutif de 11 membres, assisté de commissions, des sortes de Ministère, qui ont chacun en charge un secteur de l'activité (Commission Audit & Risque, Commission Rugby Professionnel, Commission Régionale, Commission des Règlements, Commission Rugby de la Base, Commission Consultative Antidopage, Commission de Rugby masculin Haute Performance, Commission de Rugby féminin Haute Performance, Commission de rugby à VII Haute Performance, Commission des athlètes de rugby, Commission consultative des Ligues professionnelles, Commission Consultative pour le Rugby féminin).
Au vu de la liste des membres du Comité Exécutif et des membres des commissions, cette représentation n'est pas équilibrée : comment ne pas remarquer une représentation hégémonique au sein des commissions de WORLDRUGBY de certaines fédérations, alors que ni leurs résultats sportifs dans les épreuves nationales, continentales ou internationales, ni leur réussite économique ou populaire, ne sauraient le justifier ? Pourquoi un tel déficit d'arbitres d'une nation dont le championnat, économiquement le plus prospère et extrêmement populaire, est réputé le plus difficile du monde ? Ce qui nous ramène aux problèmes d'arbitrage rencontrés lors de cette épreuve :
Si l'histoire ne revêt de sens que sur la longue durée, après dix coupes du monde et quarante ans d'expérience, constatons objectivement que neuf sur les dix furent remportées par des représentants de l'hémisphère sud, une seule par l'hémisphère nord ; que si certaines le furent de manière indiscutable, beaucoup d'autres le furent dans des conditions moralement et sportivement critiquables ; sans vouloir être exhaustif, pour n'évoquer que la France :
- Pour notre pays, la plus scandaleuse fut certainement celle de 1995 avec l'élimination en 1/2 finale par l'arbitre gallois corrompu Derek BEVAN : sous un déluge, quatre essais furent refusés aux français et la victoire revint aux "boks" sur un essai accordé à la 26ème minute à Ruben KRUGER, dont peu avant sa mort suite au cancer causé par le dopage massif que lui et ses coéquipiers avaient subi, il avait tenu à confesser dans un livre qu'il ne l'avait jamais aplati. (une pensée émue pour Joost van der Westhuizen, Tinus Linee, André Venter, tous joueurs de cette génération championne du monde 1995, atteints de maladies neurologiques rares et décédés beaucoup trop jeunes).
Souvenons nous que plusieurs joueurs français avant la 1/2 finale, et tous les joueurs néo-zélandais qualifiés pour la finale furent "empoisonnés", atteints de diarrhées aigues la nuit avant le match qui les vidèrent totalement de leurs forces.
Enfin, le pire furent ces récompenses en nature que le Président de la fédération sud-africaine remit à Derek BEVAN en récompense de ses services éminents lorsqu'il reçut, lors de la cérémonie officielle de clôture de la compétition, une montre de luxe ROLEX d'une valeur de 200.000 Francs à l'époque, et fut gratifié d'un séjour d'un mois pour quatre personnes (voyage et tous frais payés par la fédération) dans la plus luxueuse station balnéaire sud-africaine. Dégoutés, les néo-zélandais quittèrent la salle avec leur délégation, mais les français qui étaient les plus grands lésés et parce qu'on leur apprend qu'il ne faut jamais râler après l'arbitre et accepter toutes ces décisions, participèrent bien entendu à la Fête.
- En 2011, la FRANCE affrontait en finale la NOUVELLE-ZELANDE, pays organisateur, dont on disait que c'était l'ultime tournoi qu'elle pourrait organiser en raison de la taille moyenne de l'économie nationale, de ses stades (nombre de spectateurs trop limité) et d'une assise économique ne permettant pas l'ouverture du tournoi vers un sponsoring mondial. Toute la semaine, les néo-zélandais n'avaient cessé de clamer sur tous les médias que l'arbitre devait être celui qui était, à leurs yeux, le meilleur mondial, tant il leur avait accordé de faveurs jusque là dans les épreuves continentales de l'hémisphère sud et tolérait le jeu limite, à base d'hors jeux permanents, de leur capitaine, Mac CAW. Ils obtinrent donc satisfaction, et le sud-africain Greg JOUBERT arbitra la rencontre avec l'actif concours de Mac CAW pour un match qui restera comme l'un des plus grands scandales d'arbitrage de la coupe du monde.
- En 2019 au JAPON, on se souviendra que l'équipe de FRANCE qui rencontrait le Pays-de-Galles fut une nouvelle fois arbitrée par un sud-africain, Jaco PEYPER, et que la victoire galloise d'un point reposait sur l'expulsion - indiscutable en l'occurence - d'un seconde ligne français. Le problème fut que PEYPER fêta ensuite cette victoire avec les supporters gallois et posa avantageusement avec eux sur une célèbre photographie où il reproduit le geste qui avait provoqué l'expulsion du joueur français.
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Comment, dans une épreuve mondiale aussi serrée, disposant d'un panel arbitral conséquent, un même homme peut-il être désigné pour arbitrer une équipe à trois reprises ? Je passe volontiers pour un match de poule sans conséquence, mais après le 1/4 finale entre la FRANCE et l'AFRIQUE DU SUD, où son arbitrage fut tellement contesté et rendu responsable de la défaite du pays hôte, alors qu'il est conspué par la presse mondiale et fait l'objet, dit-il, d'une campagne de harcèlement sur les médias sociaux, comment ce même arbitre que l'on dit intelligent et sensible, peut-il être à nouveau désigné pour arbitrer en 1/2 finale la même équipe qu'il est accusé d'avoir privilégié ?
La commission WORLDRUGBY qui l'a nommé, "du seul fait de ses mérites" affirme-t'elle par ses communiqués de presse, prend un risque psychologique énorme avec cette désignation, dans la mesure où un nouvel échec serait dramatique pour l'épreuve et la Fédération Internationale ; à mon avis, à moins de contrainte par des interventions tierces, des dirigeants responsables ne sauraient prendre un tel parti. D'où mon questionnement personnel sur des pressions tierces (chantages divers à partir d'éléments rassemblés par des services spécialisés ?) qui auraient amené cette (ou ces personnes) à s'engager dans une voie aussi polémique !
- Pourquoi cet arbitre, Ben O'KEEFFE, malgré son jeune âge, considéré comme francophile (il parle couramment français), ouvert et intelligent (ophtalmologiste de profession) et a déjà arbitré des rencontres de TOP 14 (Aviron Bayonnais / Stade Toulousain par exemple) sans donner lieu à critiques ! Il a déjà arbitré 10 tests matchs où était engagée l'équipe de France, avec un bilan équilibré (5 victoires, 5 défaites) ; il dirigeait en particulier le dernier ANGLETERRE / FRANCE du Tournoi des 6 Nations, avec la victoire éclatante des français. Aucune raison de soupçonner chez lui la moindre "francophobie" ; lors des poules de la Coupe du Monde, il a encore dirigé le FRANCE / URUGUAY de LILLE, sans encourir de critiques particulières, tant les réservistes français furent mauvais.
Donc, aucune raison de se méfier avant le 1/4 finale contre l’Afrique-du-SUD, sinon à regretter l'habituelle campagne de presse menée par le Directeur du Rugby sud-africain Rassie ERASMUS, dénonçant par avance que l'arbitrage favorisait toujours le pays hôte (en référence certainement à l'arbitrage de Derek BEVAN lors de la 1/2 finale de 1995), que les joueurs français imitaient ceux du football en simulant des blessures imaginaires et en se roulant à terre de douleur lors de tous les chocs, que c'étaient des pleureuses ne cessant de geindre auprès des arbitres en dénonçant des fautes imaginaires. Mais c'est habituel chez ERASMUS, déjà suspendu par WORLDRUGBY pour sa campagne indigne contre l'arbitrage de Nick BERRY lors du test entre les LIONS BRITANNIQUES et les SPRINGBOKS, puis qui remit le couvert dès son retour de suspension en attaquant de la même manière Wayne BARNES arbitre du FRANCE - AFRIQUE du SUD de l'automne 2022.
Sont-ce les attaques d'ERASMUS qui firent pression sur O'KEEFFE ? Difficile à envisager à son niveau d'exprience ; il n'en demeure pas moins qu'il ne sanctionna pas les hors jeux constants de la défense sud-africaine qui perturba totalement l'attaque française, et les fautes systématiques des avants de la même équipe sur tous les "rucks" pour retarder les sorties de balle et perturber le jeu de DUPONT. Je veux bien que ni lui, ni le TMO (néo-zélandais également, malgré les recommandations contraires de WORLDRUGBY) n'aient vu les nombreuses charges poings fermés ou coudes en avant, mais refuser de revisionner (le TMO en fait la demande !) l'interception désespérée et en avant d'ETZEBETH cassant ainsi une action à sept points assurés alors que tous les défenseurs sont battus, ainsi que la charge de KOLBE sur la transformation de RAMOS, est pour le moins suspect et inquiétant !
Lors de la 1/2 finale, et après les remarques des "superviseurs" officiels, s'il sanctionna enfin les hors jeux systématiques de la défense sud-africaine et les fautes sur les rucks, cassant ainsi le jeu qui faisait la force cette équipe, il n'en siffla pas moins à la 78ème minute une faute imaginaire contre la mêlée anglaise qui valut la victoire inespérée des "springboks". Au point même qu'un arbitre aussi expérimenté que Nigel OWENS (plus de 100 test-matchs à son palmarès, une finale de coupe du monde, et une multitude de matchs des championnats européens) reconnut la faute arbitrale (et l'on connaît la nécessaire solidarité des arbitres !).
Comment comprendre un tel revirement dans la façon d'arbitrer d'un homme, unanimement respecté, dont l'arbitrage est parfaitement connu, analysé et disséqué par toutes les équipes nationales qui disposent désormais dans leur "staff" d'anciens arbitres de haut niveau pour s'adapter au mieux aux conditions d'arbitrage à venir ? J'ose espérer que les décennies prochaines ne révéleront pas un scandale et un chantage quelconque , d'autant lorsque des entrefilets d'une "certaine presse" affirment que Ben O'KEEFFE, à l'issue de la Coupe du Monde, est resté en FRANCE et a passé du bon temps avec sa maîtresse, une journaliste néo-zélandaise connue ?
Paranoïa, paranoïa, lorsque tu nous tiens ! Mais il en faut parfois si peu pour gâcher un grand évènement ! -
Même s'il n'est pas, et de très loin, le sport le plus populaire du pays (par le nombre de ses pratiquants, il n'arrive qu'en 9ème position, largement devancé par le football (qui occupe le devant de la scène internationale), le tennis, le basket-ball (2ème aux jeux olympiques de TOKYO, tiré par des locomotives d'exception comme Tony Parker, ou présentement Victor Wembanyama), d'équitation (nombreux titres olympiques), le judo et sports de combat (nombreux titres olympiques, champion olympique par équipe devant le Japon à Tokyo), le handball (champion olympique masculin et féminin aux JO TOKYO), le golf et la natation (nombreux titres également) et doit faire face à la concurrence du cyclisme (traditionnellement bien implanté avec le prestigieux Tour de France), le volley-ball (titre Olympique à Tokyo), il n'en constitue pas moins le sport collectif le plus populaire dans la moitié sud de la France, ataviquement et indissolublement lié à la population qui le considère comme partie intégrante de sa façon de vivre ancestrale, au même titre que l'art culinaire, l'accent chantant ou le bonheur de vivre).
Les pressions médiatique et politiques sont donc fortes pour qu'il dégage également une "locomotive" pour tirer ce sport sur le devant de la scène, à l'instar de ses rivaux, dont il tirera les bénéfices ; mais la maîtrise de cet outil est délicate, traître, pleine de dangers et de chausse-trappes, et beaucoup se brûlent les ailes à vouloir jouer avec : depuis que le rugby français, dans l'ombre de son nouveau gourou Antoine DUPONT et du charismatique ancien Président toulonnais, le trublion Mourad BOUJELLAL, s'égare dans le "wokisme" délirant et le "communautarisme électoral", prenant désormais parti lors de chaque scrutin national contre les mouvements "dits" d'"extrême droite", joue les chauffeurs de salle dans les meetings électoraux présidentiels, ou signe avec constance des pétitions en faveur d'un vote progressiste, le "rugby des villages" tant apprécié est entraîné sur la piste glissante de ce marais mouvant putride, paraissant fréquemment de manière univoque aux côtés de l'ancien Président François HOLLANDE - invité permanent, avec sa "camarilla" de lèche-bottes - dans des émissions aussi glauques, politiquement et sexuellement orientées en direction de la minorité "woke" LGBTQIA+ que le QUOTIDIEN de BARTHES sur RMC, CLIQUE de l'islamiste Mouloud ACHOUR sur CANAL PLUS, et bien sûr toutes les émissions progressistes du service public audiovisuel et notamment "C'EST DANS L'AIR", "C'EST A VOUS" avec Patrick COHEN, "C CE SOIR" de Karim RISSOULI, ", "C POLITIQUE" ou "C MEDIATIQUE" de Catherine TARAVENT (l'épouse de RISSOULI), "C l'HEBDO", pour servir la soupe du clan progressiste, manipuler l'opinion publique en faisant l'apologie du "A LA FOIS " et du "EN MEME TEMPS" macronien.
Dans ces conditions, les valeurs traditionnelles du rugby, sport réputé de droite par MEDIAPART - LIBERATION - LE MONDE et le service public audiovisuel, sont caricaturées, bien que certains de ses axiomes, devenus "mantras", aient miraculeusement accédé au rang de paroles sacrées du Saint Evangile de la bienpensance, donc devenues aussi infaillibles que l'engagement "pro immigration" de l'antipape argentin, impossibles à commenter et plus encore à critiquer :
Et notamment celle-ci : "On peut dire qu'au rugby, il faut respecter les décisions de l'arbitre, que ce ne sont pas des surhommes et qu'ils sont faillibles !" (Florian GRILL, Président de la FFR).
C'est une lapalissade, alors autant se complaire dans cette facilité sémantique, dégoulinante de démagogie, puisqu'elle représente la forme caricaturale sous laquelle la presse progressiste subventionnée par les fonds publics déversés par le Ministère de la Culture et l'audiovisuel parisianiste et orienté sexuellement de service public prend plaisir à représenter le "rugby" et ses supporters "machos", "racistes", "avinés", "homophobes" et "incultes" ! Et accessoirement, de poser les questions qui pourraient froisser "WORLDRUGBY" ! -
Si la gestion est compliquée dans un pays tel que la France où le rugby, bien que populaire, est loin d'occuper le première place, qu'en est-il pour l'AFRIQUE-du-SUD, où ce statut prévaut, et qu'un responsable politique aussi prestigieux que Nelson MANDELA a élevé, au sortir de la période d'apartheid pour la Coupe du Monde 1995, au rang de cause nationale et ciment de la nation ; sachant à quel point ce pays est divisé entre une population noire d'anciens esclaves et colonisés (80,2% de la population), une minorité blanche (8,4%) qui avait imposé une politique d'apartheid, et une minorité de sangs mêlés (8,8% noirs, blancs, asiatiques), et d'indous (2,5% originaires du sous-continent indien) ; qui a la particularité unique d'avoir 11 langues officielles (Afrikaans, Anglais, Ndebele, Sotho du Nord, Sotho, Swazi, Tsonga, Tswana) et dont l'hymne national, interprété dans les compétitions internationales, est la combinaison des deux chants (Die Stem van Suid-Afrika, l'ancien hymne national sud-africain, avec Nkosi Sikelel' iAfrika, un chant liturgique populaire africain adopté par les mouvements anti-apartheid) et comporte des paroles dans les cinq langues les plus parlées du pays (le xhosa, le zoulou, le sesotho, l'afrikaans et l'anglais sur les onze officielles), quelle impossible étoile à atteindre pour de simples mortels !
Les violences intracommunautaires et inter-religieuses qui ensanglantent le pays (quoi qu'en disent et en pensent MANDELA et MACRON et les indécrottables BISOUNOURS qui veulent avoir foi en leurs promesses, elles prouvent qu'il est impossible de faire vivre ensemble des civilisations et cultures aussi disparates, qu'on les nomme "arc en ciel" ou "bleu, blanc, beur !") ; mais à considérer le rugby comme le liant d'union le plus solide du pays, et leur nationalisme comme point commun entre communautés mortellement opposées par leur histoire, comment ne pas se remémorer les excès (entraînés par une chaîne de commandement où chaque niveau en rajoute une couche par zèle envers son "chef") par l'exaltation de cette valeur à l'occasion de la Coupe du Monde 1995 et les pressions exercées sur l'organisateur pour que l'AFRIQUE DU SUD en sorte vainqueur (dopage à grande échelle ayant tué ou rendu paralytiques nombre de joueurs avant leurs 40 ans, corruption des arbitres (et des dirigeants de World Rugby ?), voire chantages sexuels auprès de leurs proches, menaces sur leurs familles et eux-mêmes, et autres et infinis coups bas dignes du KGB poutinien), et se poser la question de savoir si le Tournoi 2023 a été ou non le théâtre de pareilles manipulations, puisque cette question revêt l'importance de la raison d'Etat dans ce pays, une sorte de guerre de survie qui doit être impérativement gagnée.
D'ailleurs, le grand vainqueur de la compétition reste le Président sud-africain Cyril RAMAPHOSA, successeur à la tête du "Parti National Africain" et de l'Etat sud-africain de Nelson MANDELA, menacé en 2022 d'une procédure de destitution rejetée par le vote de l'ANC au Parlement de Pretoria, candidat à la réélection en avril 2024 avec de mauvais sondages en sa défaveur, qui "surfe", écrit la presse, sur la victoire des "Springboks" et effectue présentement avec l'équipe championne une tournée "électorale" triomphale auprès de toutes les communautés raciales du pays !
Alors oui, l'histoire gravée dans le marbre, retiendra que l'AFRIQUE-du-SUD est pour la quatrième fois vainqueur d'une Coupe du Monde, sans produire le moindre jeu sinon un jeu de "dépossession", une défense sauvage à la limite des hors-jeux et des fautes sur les rucks pour ralentir le jeu !
Mais est-ce la faute à l'AFRIQUE-du-SUD, dont on connaît, depuis 1995, la pression gouvernementale exercée, au nom de l'unité de la Nation, sur son "staff" et les joueur sélectionnés ; ou bien celle de WORLDRUGBY, l'organisateur, qui tolère depuis trop longtemps ces incroyables "immixtions", en acceptant dans ses rangs une nation qui rejette les règles internationales de l'antidopage, et cautionne des pratiques indignes, difficilement admissibles. Depuis la ROME ANTIQUE, tous les responsables savent que "PANEM ET CIRCENSES" sont le meilleur anesthésiant des colères populaires et la Police la plus efficace pour garantir le paix publique ; mais, à quel prix ? La FRANCE (en 2007 puis 2023), l'ANGLETERRE (en 2015) ont pourtant fait la démonstration qu'il était possible d'organiser, dignement et en respectant l'éthique sportive, une Coupe du Monde de Rugby. Il serait peut-être opportun que WORLDRUGBY, réagisse afin que les fédérations de l'hémisphère nord ne soient plus réduites au rang de "vache à lait" et "pompe à fric", en charge de fournir les financements à l'autre hémisphère, de prestigieux decorums et des spectateurs béats d'admiration devant les nationalismes politiquement exacerbés de rivaux peu scrupuleux, ivres de résultats internationaux au mépris du réalisme économique !. Dans ces conditions, il est miraculeux qu'une Coupe du Monde sur dix ait réussi à leur échapper ?.